Ceci n’est pas un jeu du mardi 25 février au vendredi 28 février 2020 à Poitiers
Intéressé·e par les jeux vidéo ? Désireux·se de participer à la création de l’un d’entre-eux ? Prêt·e à rejoindre une équipe pour relever ce défi en moins de 48h ? Ne ratez pas la septième édition de la Gamejam de l’ÉESI « Ceci n’est pas un jeu » qui aura lieu du mardi 25 février au vendredi 28 février 2020 à l’école, sur le site de Poitiers ! Pas besoin d’être grand·e programmeur·se ou très bon·ne graphiste. Tous les profils sont accueillis, tou·te·s trouveront leur place au sein d’un groupe, dans un moment convivial, plein de partage, de fusion des savoirs et de création collaborative.
Elle est précédée d’une journée d’études « Artiste et joueur·se », proposant la rencontre de trois invité·e·s impliqué·e·s dans les mondes de l’art et du jeu vidéo autour d’une table de jeu :
Simon Bachelier, commissaire d’exposition, producteur et enseignant,
Sophie Daste, artiste, chercheuse, enseignante, docteure en Sciences et Technologies des Arts,
Christophe Galati, game designer, développeur et artiste.
Rendez-vous à partir de 14h mardi 25 février à l’EESI, 26 rue Jean Alexandre 86000 Poitiers. La table ronde commencera à 17h30, jusqu’à 20h30. L’annonce du thème de la gamejam se fera à 22h.
La gamejam se terminera à 22h le jeudi 27 février, puis après une bonne nuit de sommeil tout le monde se retrouvera le matin du vendredi 28 février de 10h à 12h30 pour échanger et se présenter mutuellement les productions.
09CAMERAS est un jeu qui se joue uniquement en utilisant les touches du clavier numérique. Naviguez entre 9 caméras qui proposent différents points de vue, et explorez la station avec les différentes interactions que chacune propose. Utilisez le manuel qui fournit une carte des lieux et des consignes sur l’usage des caméras.
Göldin est un jeu réalisé en 72h lors de la Ludum Dare 43, avec comme thème “Sacrifices will be made”. Essayez de protéger votre village en tuant ceux qui semblent être une menace pour la communauté. En appuyant sur une touche du clavier, vous tuez la personne portant la lettre.
Paul KESSEL, DNA2
Friendship est un jeu vidéo qui se joue en tirant sur deux cordes, un peu comme un cerf-volant. Déplacez-vous et interagissez avec les formes qui apparaissent à l’écran. En frôlant leur cœur, elles grossissent, mais si vous le touchez elles éclateront. À vous d’en cultiver le plus possible, ou d’en détruire le maximum.
20 000 pieds sous terre est un jeu vidéo qui se joue sur un écran tactile. Un personnage vous demande des conseils, et vous pouvez choisir quoi lui répondre en observant la carte du lieu où iel se trouve et différents carnets d’anciens explorateurs. Essayez de comprendre les règles de ce monde en déchiffrant les indices à votre disposition.
Paul KESSEL, DNA2, en collaboration avec Ysaline DEBUT
⌾ est un jeu réalisé pendant l’édition 2019 de la Global Game Jam, dont le thème était “what home means to you”. C’est un jeu vidéo qui se joue à la souris, et qui se base sur les relations entre une maison et ses résidents. Vous incarnez la maison, et vous devez être un lieu confortable pour votre humain, animal, ou tout autre ami. Mais vous n’êtes qu’une maison et vous ne savez pas toujours ce qui est le mieux pour eux.
Paul KESSEL, DNA2, Marianne VIEULES, DNSEP5, en collaboration avec Neha Hassanbay, Paul Defois & Nicolas Leray
TINNITUS, qui signifie acouphène en anglais, est un jeu d’horreur. Le personnage du jeu, torturé par un son strident et répétitif qui résonne dans sa tête, se sent appelé par une entité. Sous une tempête de neige, il s’en va la rejoindre. Le joueur contrôle ce personnage à travers une successions de courtes scènes de plus en plus surréalistes.
Vestige est un jeu d’exploration ayant lieu dans un donjon en ruine, sur le point d’être abandonné. Plus de trésors à piller, plus d’ennemis à abattre, plus de pièges à déjouer. Tout est vide, et les derniers habitants du donjon font leurs valises. Ce lieu s’inspire du design des donjons iconiques du jeu “The Legend of Zelda”, sorti sur Famicom en 1986.
Robin BEAUREPAIRE, DNSEP5
We are I est un jeu inachevé ou une absence de jeu qui narre, 70 000 ans après notre ère, la deuxième mort de l’humanité. Il s’agit d’une interface qui se veut être celle des derniers data center d’une espèce humaine depuis longtemps disparue, mais dont le souvenir et les données subsistent sur quelques serveurs informatiques décatis eux même en train de rendre l’âme. We are I était initialement pensé comme un jeu narratif où le joueur aurait discuté avec une IA agonisante qui serait née spontanément de cet océan de données. Toute forme de jouabilité, d’interaction, se sont retrouvées supprimées lorsqu’il est apparu que le joueur n’avait aucun rôle, aucune place, aucune incarnation possible dans cette fiction.
Vincent KOSELLEK, DNSEP5
AT 3A.M. évoque le harcèlement de rue et la sensation de détresse qu’il provoque.
Alors qu’une jeune femme tente de rentrer chez elle, des insultes sexistes envahissent peu à peu l’écran. Différentes actions sont présentées à la joueur·euse pour ralentir ce flot, mais le jeu se noie sous les agressions et les insultes et finit par devenir injouable.
Camile LARTIGUE, DNA2
Dans Grimorts vous maîtrisez le corps d’une sorte de guerrier ailé, qui, pour une raison que vous ignorez se rend dans un étrange bâtiment au milieu d’une forêt. Vous serez comme un détective perdu dans le corps d’un autre qui connaît son monde. Une âme errante dans cette obscurité pleine d’arborescences : il existe sept dénouements différents !
Bien qu’il y ait une ligne directrice, le scénario du jeu sera déterminé en fonction de vos choix. Mentir ou dire la vérité, tuer ou épargner, écouter ou non un personnage. Presque toutes vos actions seront comptabilisées et révéleront vos relations avec les personnages ainsi que la fin.
L’objectif de ce jeu de rôles est de plonger le joueur dans un univers de magie et d’illusion dont il ne connaît rien. Personne ne vous racontera les légendes de ce monde. Ce sera à vous de recoller les pièces du puzzle, de comprendre ce que certains personnages disent, et de les mettre en relation. La totalité des personnages présents ont un nom, une histoire, un caractère, des objectifs. Selon ce que vous ferez, certains vous aideront, d’autres vous détesteront, vous traqueront ou chercheront à vous manipuler.
Bien agir selon vous, ne vous attirera pas forcément les bonnes grâces. Et assassiner ne vous fera pas forcément aboutir à une fin en votre défaveur.
Toutefois… si vous mourez trop souvent, certains êtres pourront s’en apercevoir. Il arrivera aussi que le personnage que vous contrôlez prennent ses propres décisions. N’oubliez pas que le corps que vous manipulez n’est pas le vôtre !
Donc soyez vigilant et choisissez bien…
Marie URSI, DNA1
■ est un média interactif vidéoludique. L’objectif est de maintenir une barre en équilibre, si vous la laissez atteindre un des cotés du jeu vous perdez ! Il vous transcendera par la simplicité de son gameplay et par ses flash ahurissants. Vous serez tendu, stressé, stupide, mais surtout : joueur.
Constantin TIOUTIOUNNIKOV, DNA1
LABYRINTHE
Le concept est simple : un joueur a la capacité de voir ce qui a l’écran, et l’autre n’a accès qu’au contrôle.
Le but du jeu est de réussir de traverser le labyrinthe généré aléatoirement et de récupérer le carré d’or. Une fois celui-ci en votre possession vous pouvez sortir du labyrinthe par la porte bleue. Il vous faudra cependant répéter cela 4 fois pour gagner.
Mais bien que ce soit un jeu en coopération, il n’y a qu’un des joueurs qui peut gagner. Et la victoire repose sur le lien social qui va se créer au fil du jeu.
Très rapidement, un système de supériorité sociale va se créer de par la mécanique asymétrique. Le voyant va alors devenir le chef, et celui qui a les commandes ne va être que l’exécutant. Bien que cette affirmation soit vraie au début, les rôles peuvent changer voire devenir quelque chose de complètement différent.
À cela s’ajoute souvent la présence de spectateur, qui eux aussi ont un rôle a jouer, ils font entièrement partie du jeu. Car entre les spectateurs agacés qui veulent prendre leurs places, ceux qui rient de leurs malheurs et simplement ceux qui envahissent l’espace de jeu, cela procure une toute autre expérience.
C’est est une réflexion sur l’expérience du jeu et sur le social. Un jeu vidéo peut il changer drastiquement selon avec qui nous sommes, comment et pourquoi ?
Je n’ai pas l’intention de répondre à ces questions avec ce jeu, mais simplement d’amener les joueurs à se rendre compte qu’elles existent et peuvent être plus importantes que ce que l’on pense.
Press Here est un jeu très court réalisé durant une gamejam étudiante en novembre 2017. Le but est simple : appuyer sur un (ou plusieurs) bouton. Le·a joueur·euse peut choisir entre deux personnages, une femme ou un homme. Ce choix impactera radicalement la difficulté du jeu, ce qui met en lumière le thème abordé par ce dernier : les inégalités salariales (et autres) dans le monde du travail.
Les étudiant·e·s de l’École Européenne Supérieure de l’Image Poitiers & Angoulême vous invitent à participer à la 6ème édition de laGAMEJAMCeci n’est pas un jeu !
Bonjour à toutes et à tous !
Tout d’abord en quoi consiste la Gamejam ?
C’est en premier lieu un défi : réaliser en petits groupes un jeu vidéo en 48h chrono.
Incroyable, insensé, impossible ? Rassurez-vous : chaque année les participant·e·s s’en sortent à merveille et nous proposent des expériences de jeu toutes plus surprenantes et enrichissantes les unes que les autres.
Vous pouvez voir cela par vous-même ici :
Les conférences précédentes en 2016, 2015 et 2014.
Il n’y a pas besoin de connaissance technique spécifique préalable, quelles que soient vos spécialités chacun trouve sa place. Pendant ce temps de création intense et de collaboration, tout le monde a l’opportunité d’en apprendre beaucoup.
Comment ça se passe exactement ?
Mardi 16 avril 2019
18h : Rdv sur place pour une rencontre conviviale des différent·e·s participant·e·s
20h : Lancement du thème et de la contrainte, début de la production
Jeudi 18 avril 2019
20h : Fin du temps imparti
Vendredi 19 avril 2019
14h : Présentation par équipes des diverses propositions
18h : Tests des jeux créés (ouvert au public)
Ce moment ludique et artistique se déroulera dans son intégralité à l’ÉESI sur le site de Poitiers (26 rue jean Alexandre, 86000 Poitiers –http://www.eesi.eu ). Des repas seront pris en charge et des solutions d’hébergements seront possibles pour celles et ceux qui en feront la demande.
Pour la cinquième année consécutive, l’École européenne supérieure de l’image – Angoulême & Poitiers organise à Poitiersun workshop art & jeu vidéo ouvert aux étudiant.e.s en école d’art, en école de jeu, à l’université, ou aux jeunes auteurs.trices indépendant.e.s.
La règle du jeu est la suivante : 1 – Un prélude, le micro-festival « Ceci n’est pas un jeu », qui débute par une exposition jouable de jeux vidéo expérimentaux d’étudiant.e.s au « Garage », 18 boulevard Chasseigne, le vendredi 30 mars 2018 à 14h, pensée et mise en oeuvre par les étudiant.e.s de l’atelier de recherche et création Homoludens. 2 – Des conférences le vendredi 30 mars à 16h30 au « Garage », où les invité.e.s viendront entre autres choses parler de jeux queer, de développement et d’accessibilité, en présence de Zorakillerqueen (@zorakillerqueen du Hackerspace Le RESET), Miss Myu (@MissMyu_ , développeuse, autrice de jeux vidéo et de la chaîne youtube Pause Café), ainsi que Jérôme Dupire (chercheur au CNAM, cofondateur de CapGame). 3 – Un pot convivial le vendredi 30 mars à 19h au « Garage », suivi par la fin du micro-festival jusqu’à minuit, avec du jeu performé et des initiatives festives, ludiques et artistiques étudiantes. 4 – Rendez-vous le samedi 31 mars 2018 à 11h sur le lieu de la Gamers Assembly pour se retrouver et manger ensemble. 5 – Le samedi 31 mars à 14h pile débute la GameJam de 48h, avec 100 étudiant.e.s venant de partout en France et d’ailleurs dans une énergie créative. 6 – Un postlude le lundi 2 avril 2018 sur une des scènes de la Gamers Assembly, présentant les productions artistiques et ludiques réalisées pendant les 48h précédentes.
Les conférences précédentes en 2016, 2015 et 2014.
Les jeux réalisés par les étudiants en 2017, 2016, 2015 et 2014.
Infos pratiques
Les lieux à Poitiers :
• Le «Garage» de l’ÉESI, 18 boulevard Chasseigne
• Gamers Assembly, Parc des expositions, 11 rue Salvador Allende
Ceci n’est pas un jeu du vendredi 14 avril au lundi 17 avril 2017 à Poitiers
Réservation obligatoire avant le 31 mars 2017 : cecinestpasunjeu@eesi.eu
Pour la quatrième année consécutive, l’École européenne supérieure de l’image organise à Poitiers un workshop art & jeu vidéo ouvert aux étudiants en école d’art, en école de jeu, à l’université, ou aux jeunes auteurs indépendants.
La règle du jeu est la suivante : 1 – Un prélude, le micro-festival «Ceci n’est pas un jeu», qui débute par une exposition de jeux vidéo expérimentaux et de jeux vidéo d’étudiants à l’Artothèque de la Médiathèque François-Mitterrand à 14h le vendredi 14 avril. 2- Des conférences à 17h à la salle Bloch à la Médiathèque, avec des artistes plasticiens et auteurs de jeux indépendants. 3- Un pot convivial à 19h à l’EESI, suivi par la fin du micro-festival jusque dans la nuit, avec du jeu performé et des initiatives festives, ludiques et artistiques de la part des étudiants. 4- Rendez-vous à 11h le samedi 15 avril sur le lieu de la Gamers Assembly pour se retrouver et manger ensemble. 5- A 14h pile débute une GameJam de 48h non-stop, avec 100 étudiants venant de partout en France dans une énergie créative. 6- Un postlude le lundi 17 mars à 15h sur une des scènes de la Gamers Assembly, présentant les productions artistiques et ludiques réalisées pendant les 48h précédentes.
Les conférences précédentes en 2016, 2015 et 2014.
Les jeux réalisés par les étudiants en 2016, 2015 et 2014.
Les lieux à Poitiers :
École européenne supérieure de l’image, 26 rue Jean Alexandre
Médiathèque François Mitterrand, 4 rue de l’Université
Gamers Assembly, parc des expositions